C’était pas ton heure
Cette heure perdue dans le néant
Noyée de pleurs
Pleurée de noix
Cette heure freinée verticalement
équitablement
d’être là un homme rouge t’avait dit merci
pourtant petit comme un oiseau lézard
une becquée un simple alizé
As-tu été heureux
Heurtant eureka pourquoi pas
Je sais pas tant peur j’avais
Du leurre agité au bout d’un gant
Enfilé par une main
Dans l’autre des noix
Données aux passants
En plus de l’heure-dinaire
Or dernière
Or ni car
Mais où est donc passé
ce satané Sam