J’ai peur que la vie ne dépasse pas la conscience de la vie.
Sinon la vie serait l’immortalité et la mort une parenthèse.
La conscience n’est pas une chose moins réelle que la vie. La conscience n’est pas une chose. La conscience est l’existence même des choses.
Donner la priorité à la vie plutôt qu’à la conscience est l’erreur que nous faisons tous les jours pour pouvoir vivre un matin de plus. Parce que notre corps est notre seul refuge. Même si nous ne l’aimons pas.Et il n’y a pas de refuge dans la conscience. Ou plutôt, nous sommes inconscients si nous cherchons refuge dans la conscience.
On ne peut pas se réfugier dans les idées, on ne trouve pas d’idées si on cherche refuge dans les idées.
Peut-être parce que nous avons peur que la conscience de vivre et l’idée que nous nous faisons de la vie disparaissent avec nous quand nous mourrons.
Mais où diable étions-nous avant de naître et de devenir mortels ?
La conscience n’est pas une chose moins réelle que la vie. La conscience n’est pas une chose. La conscience est l’existence même des choses.
Donner la priorité à la vie plutôt qu’à la conscience est l’erreur que nous faisons tous les jours pour pouvoir vivre un matin de plus. Parce que notre corps est notre seul refuge. Même si nous ne l’aimons pas.Et il n’y a pas de refuge dans la conscience. Ou plutôt, nous sommes inconscients si nous cherchons refuge dans la conscience.
On ne peut pas se réfugier dans les idées, on ne trouve pas d’idées si on cherche refuge dans les idées.
Peut-être parce que nous avons peur que la conscience de vivre et l’idée que nous nous faisons de la vie disparaissent avec nous quand nous mourrons.
Mais où diable étions-nous avant de naître et de devenir mortels ?